Ils sont partis! (sur la musique des Sentinelles de l’Air)

Alors voilà : petit levé à 5H30. On sort de la chambre à 5H55. On a prévu de quitter l’hôtel pour la gare à 6H00.

La veille, un des employés de cuisine nous a proposé deux boites de déjeuner. On a dit oui, mais qu’on partait impérativement à 6H00. D’ailleurs, on a payé la balance de ce que l’on devait à l’hôtel la veille pour s’assurer de pas prendre de retard (et on a bien fait : le lendemain matin, personne de la réception au comptoir!)

5H55. L’agent de sécurité qui parle peu ou pas anglais nous explique dans un charabia impossible que les boites de petit dej arrivent.

6H00. Rien. Je me dirige aux cuisines. Le seul employé est là, et travaille effectivement aux boites à petit dej. Je lui dis qu’on est déjà en retard. Il me demande 5 minutes. Je lui en accorde 2.

Je vais voir Sol. On attend.

Je retourne en cuisine.

Il est en train de couper les croutes du pain genre Weston de nos triples sandwich au fromage orange, pain blanc.

On n’a pas le temps pour cela : je lui fais signe d’accélérer. Consciencieusement, il continu de couper les croutes.

6H10 : on part finalement avec nos deux boites (de styromousse).

À pied.

On arrive à la station de train à 6H20, soit 10 minutes avant l’arrivé dudit train. On achète les billets (deux petits billets, très épais d’ailleurs, que le fils (?) du guichetier nous donne). Pour aller à Colombo, c’est 80 roupies (120 roupies 1$). Mais le train passe qu’à 7H00 (en fait, 7H10). Mais cela ne respecte pas l’horaire que l’on a trouvé sur le Web.

Puis, on comprend ce qui se passe : on n’est pas à la station de train de Negombo. On est dans une station de train de la banlieue de Negombo, qui porte un nom différent. Et qui fait que le train Intercités n’arrête pas à notre station.

Le dit train nous passe sous le nez quelques minutes plus tard, d’ailleurs.

Boooooonnnn, voilà autre chose.

On petit dej en attendant l’autre train.

Et là, on reste pris avec des déchets. Pas de poubelle dans la « station ». Je prends ma boite en styromousse, je la mets dans un des 3 sacs de plastiques que le cuisinier nous a donné tantôt (c’était au moins deux de trop). Et je le donne au guichetier. Qui dit quelque chose à son fils de 14 ans, qui vient prendre mon sac de déchets.

Je quitte, soulagé de ne pas avoir participé à polluer le Sri Lanka, qui l’est déjà assez comme cela (ce n’est pas le niveau de l’Inde, mais c’est un bon niveau quand même).

Le fils sort du bureau, fait quelques pas, et kick majestueusement mon sac de vidange dans la nature.

Avoir su, moi aussi j’aurais pu faire cela. Tout le monde rêve de faire cela. C’est très libérateur de kicker des déchets du pied, très loin. En fait, je ne le sais pas, parce que je l’ai jamais fait. Mais le petit gars avait l’air d’avoir du plaisir, lui.

Le train arrive. On est maintenant beaucoup à l’attendre. Sol et moi on a peur d’être debout durant le trajet.

Heureusement, on a pris deuxième classe (il n’y a pas de première). Mais c’est une deuxième classe sans place assignée.

On monte dans le train.

Aucune place assise disponible. Ça va être long.

On reste debout, un peu comme dans le métro. Plus on avance, plus il monte des gens, plus on est tassé. Mais les gens sont gentils et respectueux. Ça ballotte quelques fois assez solide, ce wagon!

On tente de compter le nombre de touriste à bord : on arrive toujours au chiffre de deux.

Quelques stations avant d’arriver à Colombo Fort, une place se libère, et un Sri Lankais laisse la place à Sol. C’est le même qui va nous dire où descendre exactement à Colombo.

On est donc à la station principale de train. On va au guichet (chaque guichet est spécialisé dans une destination précise, sauf la nôtre où c’est écrit « autres destinations », et on apprend qu’il n’y a plus de place en première classe pour ce jour-là.

Plan B : le prochain train qui part en deuxième classe. Oui, on peut avoir des billets (pour 280 roupies chacun) mais il n’y a pas de place assignée. Mais le guichetier nous dit que le train ne sera pas plein.

On le croit.

Le train quitte à 8H50.

On avait prévu de faire quelques emplettes à Colombo : une carte Sim, un guide de voyage papier…

Mais il est 7H30, et le voyage va prendre genre 5 heures (6 dans les faits).

On laisse tomber le matériel et on se dirige vers le quai 8. Mais le fonctionnaire qui vérifie les billets nous assigne à quelqu’un pour nous aider (?!?). Il nous accompagne jusqu’au quai 8 (on l’aurait full fafa trouvé seul, le quai 8 : c’était très bien indiqué). Mais le « guide » nous sort une feuille et on comprend (ahahah) qu’il est sourd muet. Il demande un don pour son école. On lui donne.

Encore aujourd’hui, on se demande si c’est un scam ou non. J’ai le récit d’un autre voyageur qui parlait de ce « service », mais il ne disait pas avoir donné de l’argent…

Bref.

Le train arrive. Mais ce coup-ci, je nous ai mis à une extrémité du quai, histoire d’être les premiers à y embarquer, et avoir des places assisses (5 heures debout, c’est encore plus long qu’une heure).

Le train arrive, mais dans l’autre direction. Et donc, c’est la locomotive qui se stationne devant nous.

Bra-vo.

Sol a beau courir, quand on entre dans les wagons 2ième place, toutes les places à deux sont prises. Mais on peut s’asseoir côte à côte quand même, mais séparer par le corridor. Et on n’a pas la vitre…

Au moins, on est assis.

Le train est pas encore parti, que les vendeurs circulent. Cela ne va pas arrêter pendant tout le trajet : journaux, thé, samosa (mium mais gras), pommes, liqueur, eau, maïs très jaune, aux grains bien alignés (mouach, pas bon…), livre à colorier pour apprendre l’anglais, joueur de tam tam, madame avec son petit qui quête, vieux monsieur qui quête, pop corn (très bon! Comme au cinoche!), barbe à papa de toutes les couleurs, barre de noix, des aveugles qui veulent des dons, et pleins d’autres bouffes que l’on n’a pas réussi à identifier, mais qui sentait bon.

Mais tout cela est proposé sans pression, et ça ajoute au voyage.

J’ai eu l’idée d’une téléréalité où deux grands chefs de cuisine prenait le train dans différents pays du monde, et goutaient à toutes la nourriture proposée. Titre temporaire : Le train de vie.

Une heure après le départ, mon voisin de banc quitte, et Sol vient me rejoindre. On est content.

Le train est assez confortable. Le temps passe sans que l’on sans aperçoive trop.

Je ne manque pas l’occasion d’aller me « poster » devant l’une des portes de côté : la porte grande ouverte, tu vois les paysages défilés en te tenant bien fort sur les deux poignés de côté. Très cool (légèrement dangereux quand même… Je comprends pourquoi on ne peut pas faire cela dans un train qui roule à 80 km heure. Mais à 40, c’est OK). Il y a des gens qui font une partie du voyage les pieds qui ballants, au-dessus des rails.

J’ai aussi le plaisir de me servir de la toilette à bord : le fameux trou qui donne directement sur les rails. Et je suis en train de pisser quand le train s’arrête à une gare. Gênant un peu, quand même.

Parlant de toilette : à la fin du voyage, quand le vent va dans la bonne ou mauvaise direction, c’est selon, l’odeur des toilettes est assez puissante merci. Sol a même le gout de vomir. Heureusement, cela arrive juste quand le train recule pour laisser d’autres trains passer.

Arrivé à Anuradhapura. Un gentil chauffeur de tuk tuk nous aborde à la descente de train (il a pas le droit d’être là, il n’a pas de billets de train : d’ailleurs, les autres chauffeurs sont dehors, à côté de leur tuk tuk, à attendre gentiment). Mais il est gentil, et nous propose son tuk tuk : 300 Roupies pour aller à notre hôtel qu’il connait. Or, c’est exactement le prix que l’hôtel nous disait que cela couterait. On accepte.

Chemin faisant, il nous propose ses services pour visiter les temples et les ruines de l’ancienne capitale du Sri Lanka : six heures de visite! Pour 2000 roupies (16$). Comme on a aucune idée des prix, on lui demande sa carte, mais il en a pas.

On se laisse donc.

Nouvel hôtel. C’est un hybride entre en BandB et un AirBandB. On a notre chambre, mais la famille habite aussi sur les lieux (père avocat, mère, grand-mère et mignonne petite fille). Excellent petit dej aux crêpes avec noix de coco et miel, piscine (petite mais très bonne, même quand il pleut!), air climatisé… 39$ la nuit.

Bons services, bons conseils.

On prépare notre première journée de visite pour le lendemain : la tournée des temples, c’est 6 heures solides. Comme on a du temps (le chauffeur de touk touk nous confirme que les touristes restent dans sa ville un maximum de 2 jours : nous on va y rester pendant 4 jours), on décide d’en faire 3 une journée (ceux qui ne sont pas compris dans le billet d’entrée de 25$) et de faire les autres une autre journée. Je ne veux pas être trop baveux, mais avoir le temps de prendre le temps, c’est vraiment magique.

Le soir de notre arrivée, on décide d’aller au resto dans notre coin. Mais on est un peu en banlieue. On va sur la rue principale. On trouve quelques marchands de « take away », mais cela nous prend un bon 15 minutes de marche pour trouver un « vrai » resto : comme d’habitude, il n’y a pas de menu. Tu mange le plat du jour qu’ils te font cuire là, maintenant. Ce soir-là, riz sauté aux légumes et poulet. Les portions sont monstrueuses : on ne finit pas, et de loin, nos assiettes.

On ramène les restants à la maison. Bon, c’est un peu cher, 500 roupies (4$). Mais le service a été d’une extrême gentillesse. On a même osé boire l’eau, que le serveur nous dit être minérale, sans avoir vu la bouteille! On est pas en Inde!!!

Et même pas malade!

On dort très bien.

Aujourd’hui, on se rend en touk touk (300 roupies) au premier site : c’est le temple d’Isurumuni. Un bel ensemble de temples bouddhistes, qui aurait même abrité la dent de Bouddha (qui est aujourd’hui à Kandy (que l’on va visiter plus tard) (non, je ne sais pas quel dent, mais je soupçonne que ce n’est pas une canine… Je sais pas si vous la comprenez…).

Dans le stationnement, on rencontre, par hasard, notre chauffeur de touk touk de la veille. Ce coup-ci, il nous donne son numéro de téléphone (or, nos hôtes nous ont proposé le même tour de touk touk pour les temples, mais à 3500 roupies au lieu de 2000 pour lui).

De là, à pied (parlant de pied : la visite se fait nu pied, sans chapeau. On marche sur du sable, et c’est très propre : très différents de l’Inde et du temple aux rats…), on se rend au temple sacré de l’arbre Bo.

En gros, c’est un temple bouddhique, construit autour d’une branche que bouddha a amené au Sri Lanka. La branche du figuier a fait des racines, et voilà : c’est l’arbre le plus vieux du monde! Il a été planté en 288 avant JC.

Quand on visite le tout (toujours nu pied), il y a pleins de sri lankais qui viennent déposer des offrandes, généralement des fleurs. Beaucoup de gens prient. Nous, on trouve cela inconfortable d’assister à cela. On est un peu gêné. On prend peu de photo, et on s’efface le plus possible. Même si en Italie, surtout en Sicile, les Églises étaient pleines le dimanche, cela à rien à voir avec ici : même les ado (si je mets un « s » à ado, cela donne ados. Je ne sais pas, j’hésite. Je vais consulter mes confrères (et quelques consœurs) de l’Académie Française et je vous reviens sur notre décision) circulent autour du temple en priant intensément.

C’est un bel arbre, soutenu par quelques colonnes en « or ». Mais bon, il est protégé par d’autres arbres, et par une structure (le temple lui-même). Les gens achètent des assiettes de fleurs, et les amènent au temple, devant les statues de Bouddha. Certaines personnes donnent leurs offrandes à des gardiens qui les mettent plus proche de l’arbre (on n’a pas accès à l’arbre lui-même, mais on le voit assez bien).

De là, encore à pied, on va vers un autre temple : le ruwanwalisa dagoba. En gros, un stupa qui protège des reliques du Bouddha (que vous ne pouvez pas voir : tout a été bien ensevelis et briqués pour que personne ne vienne voler ces reliques).

Gros monument. On parle de l’un des plus gros du monde.

Là encore, il y a de la dévotion dans la masse.

Toutes ces visites ont été faites dans un cadre parc/rizières/singes et vaches et oiseaux magnifiques.

Des singes : deux sortes, et deux belles sortes. Et il y a pleins de mamans singes (des singettes? Je consulte l’Académie de ce pas… nu) avec leur petit sous le ventre…

Bref, moi heureux.

De là, on remarche vers le centre de la nouvelle ville, pour bouffer dans un resto plus occidental.

Petit mot sur la température : elle est stable : genre 30 degré. Mais il y a un mélange de soleil, de nuage et de pluie qui ferait craquer n’importe quel météorologue de Météomédia.

Donc, tu marches, et quand il pleut, tu continu : cela va sécher. S’il pleut trop, tu fais comme les cyclistes : tu t’abrite sous un arbre, avec ton parapluie, et tu attends.

Bref.

Sur le chemin, on re re croise notre chauffeur de touk touk! C’est le Karma qui parle! Cet après-midi, à l’hôtel, on demande à notre hôte d’entrer en contact avec lui pour le réserver demain matin. C’est chose faite. On ne niaise pas le Karma quand il te hurle ainsi à l’oreille!

On arrive dans la ville. On se cherche un resto un peu touristique. Nop.

On finit par arriver à l’ancienne station de bus (qui fonctionne encore visiblement). Là, un chauffeur de touk touk nous recommande un resto. Pas du tout occidental, mais il y a un courant d’air frais, donc, on entre.

Là, on choisit dans un buffet les plats que l’on veut : lentilles (miam), un légume qui ressemble à des patates (miam), riz blanc à profusion, poulet à une sauce inconnue, mais très miam miam, et une salade de tomates et oignons drôlement épicée.

Grande bouteille d’eau.

Service encore une fois totalement gentil.

Cout : 480 Roupies. Et je n’ai pas fini mon assiette.

Une autre spécialité de la maison : tu t’assois, et on vient te porter un plateau avec genre 6 sandwichs. Tu manges les sandwichs que tu veux, et le plateau retourne dans le comptoir.

De là, on marche pour aller voir un lac.

De là, on retourne à la maison avec un touk touk qui ne sait pas trop où est notre hôtel. On est prêt à payer 300 roupies (2.50$). Il nous en demande 150. On accepte.

Il demande son chemin en chemin, à un autre chauffeur de touk touk.

Arrivé à destination, on lui donne 200 roupies. Il est content. Nous aussi.

Là, on a fini de se baigner délicieusement sous la pluie (après s’être lavé les pieds soigneusement). Sol a un chaton sur elle, qui lui fait du pain. Moi, j’ai un chien saucisse qui me fait des nez nez.

Belles journées.

On s’ennuie déjà du Sri Lanka et de ses gens si gentils. Quel beau voyage.

Syl

PS : À JY : Ici, c’est Ganesh qui est à l’honneur! On le voit à tous les coins de rues!

PPS : On pense déjà à notre prochain grand bond : l’Indonésie. Mais bon, il y a un volcan qui fout la marde solide. Plan B : La Birmanie. Mais il y a les Bouddhistes qui foutent la raclé aux musulmans… Genre le génocide. Plan C : la Malaisie? Les Philippines? Suggestion?

 

Commentaires (16)

Gilbert Laplante29 novembre 2017 à 5:31 pm

Wouah! La stupa blanche est magnifique et imposante.

Les petits singes sont des langurs gris.

Les femelles des singes sont des guenons et pas des singettes. 😀

Ça existe des bouddhistes violents? Eh ben!

Jean-Yves29 novembre 2017 à 6:05 pm

Haha! J’étais pour te demander si tu avais crié Hanuman, mais Ganesh c’est bien aussi. Fais attention aux prêtres. Leur aura est doublée sous l’influence de Ganesh.

JF29 novembre 2017 à 7:45 pm

Plan E : L’uruguay. Le sud-ouest.

JF29 novembre 2017 à 8:03 pm

Plan F
Je trouve que vous vous reposez trop.
Allez là.
https://www.mec.ca/fr/article/i-did-a-5-month-ski-traverse-with-my-mum

syl30 novembre 2017 à 3:27 am

JF n’a plus le droit de proposer des plans E, H, http://WWW...
Pour les Philipines, j’avais oublié la guerre à la drogue dans le sud… Et le président du pays qui est copain copain avec Trump…
Reste la Corée du Nord…

Pierre Pelletier30 novembre 2017 à 12:49 am

C’est de l’oratoire ça. Tiens Gilbert, un parmi tant d’autres. https://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Le-dalai-lama-demande-aux-bouddhistes-de-stopper-les-violences-contre-les-musulmans-2014-07-07-1175522

Eric30 novembre 2017 à 4:26 am

Plan K. Népal

Jean-Yves30 novembre 2017 à 2:18 pm

Plan L. Tanzanie

Andrée1 décembre 2017 à 3:51 am

Je pense que le mot que tu cherches, c’est suffrasingette.

HAHAHAHA (je me trouve drôle, ça fera au moins une personne).

Plan Q Tu reviens ici (on mange occidental pour quelques millions de roupies à la café) rire de mes blagues et constater à quel point Jean-Yves a usurpé ta place de sex symbol. Éric est témoin. (Bon, j’imagine qu’il fallait être avec nous aux dumplings pour bien apprécier ma référence …)

P.S. JF est bien la seule personne à qui tu imposes des règles!
P.S.S. ados

Andrée1 décembre 2017 à 3:52 am

Woah, j’ai envoyé mon message dans le futur! (Ton blogue est à l’heure du Sri Lanka…)

Francois1 décembre 2017 à 4:37 pm

Plan A pour Australie
Plan Z pour louer un VR en Nouvelle Zélande et faire le tour (sur ma ToDo List)

Plan C pour Chine (aussi sur ma ToDo)

pgluneau2 décembre 2017 à 3:09 pm

C’est quoi cette histoire de branche que Bouddha a amenée là, qui a fait des racines et qui est devenue le PLUS VIEIL arbre au monde??????? Et l’arbre d’où il a pris la branche, il était pas plus vieux, peut-être!!! C’est n’importe quoi et c’est, surtout, la preuve que les religions, c’est de la merde
signé : Gorbadoc

syl3 décembre 2017 à 3:43 pm

L’arbre est dans les branches, marion mariné… : )

Micheline Sabourin4 décembre 2017 à 3:21 pm

Vu de Arena Blanca tout cela semble bien beau. Quant au plat de sandwiches qui retourne au comptoir, j’espère pour votre santé que vous êtes les premiers à vous servir. Pour les temples : la Birmanie. Pour la bouffée d’air frais l’Australie même s’il fait chaud. Les koalas sont très sympathiques.A pl XXX
:

syl5 décembre 2017 à 2:29 am

Arena Blanca semble très prometteur aussi!
Pour l’Australie… Comment on voyage là-bas? C’est terriblement gros, cette affaire-là!
ET Sol qui que les koalas, c’est méchant… 🙂
Bon voyage à vous deux!

P'pa24 décembre 2017 à 5:18 am

Les 3 photos (gare/train) sont très belles.Cela fait  »différent » de la gare Centrale de Mtl.

Vous semblez inquiet de l’Indonésie…. »Come On » Je me permets quelques conseils à suivre….rien de moins…
1- Bali….vous devez trouver logis… »en sens contraire de la direction de vent » et loin de la base du volcan Agung….qui s’est calmé quelque peu dernièrement…
2- Ne pas loger en bord et au niveau de la mer. En hauteur (3ième étage et à au moins 100 mètres en altitude……TUNAMI.
3- Ne pas assister à une messe religieuse (même si la dévotion chrétienne de Solange vous porte à poser un tel geste) La visite de nombreuses églises catholiques en Sicile et en Italie devrait être suffisante…. Le sud-est de l’Asie est propice aux attentats des Musulmans et des  »Bouddhistes » dans les églises chrétienne.
4- Je vous souhaite un Joyeux Noël en plus de trouver quelque part un beau sapin décoré de belles  »bouilles » rouge et verte…..un peu de neige avec ça…pourquoi pas???…dans les hautes montagnes du Sri Lanka…Ha! Ha! Ha!


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